A découvrir le fil fervent qui me tient lieu d'équilibre vous êtes invités... Vous, funambules du lire et du délire... Suivez-moi avec les élans du coeur et de l'esprit... Pour me contacter: lefildarchal@hotmail.fr
Les Eaux Pâles de l’Existence L'esprit tourne comme une mystérieuse opale noire Au doigt aminci d’un tourmenté fébrile A son chevet, les Parques vêtues de fatidique moire Consument leurs feux, tisseuses habiles Nourries par l’astre topaze du vaste ciel...
DERNIERES DEMEURES Il fut un temps où furent les urnes funéraires Eclat des croix d’argent répondant à la pâleur des cinéraires Vert pâli aux larmes des souvenirs d’antan avec le vent, Carrefours et corridors de pierres, hommage au temps Où dorment les...
Rupture L’amour qu’on tue et qui meurt La fin d’un grand bonheur C’est un accordéon dans la rue noire, C’est un sanglot de lumière sur les pavés du soir... Le dernier baiser sur les yeux Le premier et le dernier adieu C’est une pluie qui pleure , humide...
Lautréamont L’ombre d’une vie « Là, dans un bosquet entouré de fleurs, dort l’hermaphrodite, profondément assoupi sur le gazon mouillé de ses pleurs. La lune a dégagé son disque de la masse des nuages et caresse avec ses pâles rayons cette douce figure...
Suite à une hospitalisation très soudaine et imprévue de votre amie Hécate. Elle espère que vous allez bien. Là, où elle est elle n'a aucun moyen de communiquer par internet. Elle vous dit à bientôt pour de nouvelles aventure plus agréables. ps: je lui...
Cette publication est normalement temporaire et n'a pour but que de tenter de débloquer les problèmes d'administration et ceux des commentaires sur mon blog puisque l'hebergeur (OB) ne daigne pas répondre à mon courriel... NOUVELLES DU JOUR ... (le 5...
La flamme d’une écriture, force d’infinitude et de déchirure, celle de Daniel Arsand qui nous narre en ce court roman d’une densité poétique rare, la magnifique passion de deux êtres que tout devrait séparer et que l’intolérance arrachera l’un à l’autre…...
Le Pont Mirabeau Sous le pont Mirabeau coule la Seine Et nos amours Faut-il qu'il m'en souvienne La joie venait toujours après la peine Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Les mains dans les mains restons face à face Tandis que...
illustration Yuri Ovchinnikov Dans le bleu pur de l'aube proche Les étoiles filent tout près ; Faut-il donc que vite j'ébauche Un souhait, mais que désirer ? Serge Essenine 1885-1925
Les Brontë compil sélectionné dans Arts & Talents et Livres / Littérature Poèmes lus par "Les Souffleurs de Vers".