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A découvrir le fil fervent qui me tient lieu d'équilibre vous êtes invités... Vous, funambules du lire et du délire... Suivez-moi avec les élans du coeur et de l'esprit... Pour me contacter: lefildarchal@hotmail.fr

RUPTURE

Rupture

L’amour qu’on tue et qui meurt 
La fin d’un grand bonheur
C’est un accordéon dans la rue noire,
C’est un sanglot de lumière sur les pavés du soir...

Le dernier baiser sur les yeux
Le premier et le dernier adieu
C’est une pluie qui pleure , humide
C’est une morne flaque d’eau qui se ride...

La fin d’un baiser sur des lèvres rougies
Le dernier battement d’un cœur à l’agonie,
C’est la rue qui s’ouvre comme un gouffre
C’est un accordéon et une âme qui souffrent...

Une silhouette qui là-bas,  s’évanouit
Un corps, une âme, un cœur qui après elle , crient
C’est la rue qui demeure clignotante sans raison
C’est un accordéon qui continue sa chanson...

 

Hécate 

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E
Je passais par hasard sur ton blog dont j'ai gardé le lien. Tes paroles dans ce texte sont tellement bien décrits, si profonds sont tes vers. Bonne journée, bises.
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H
Merci Elisabeth, oui je suis revenue publier ce poème sur mon blog. <br /> Bonne journée
M
Bonjour Hécate,<br /> <br /> Merci au hasard de me permettre de tomber sur ton blog.<br /> Superbe poème qui touche au cœur; Qui n'a vécu une telle scène, au moins une fois dans sa vie? Moi, oui. Je n'ajoute rien de plus car mon prédécesseur à tout dit, et bien dit.<br /> <br /> Un beau partage!!<br /> :)
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H
Bonjour Martine, merci d’apprécier mon poème. <br /> Bonne journée
L
"Rupture" m’évoque la douleur, symbolisée par des images poignantes comme un accordéon dans une rue sombre et des sanglots de lumière. Le poème décrit le dernier baiser, la tristesse d'un adieu et l'agonie d'un cœur brisé. La rue devient un gouffre, tandis qu'une silhouette s'évanouit, laissant derrière elle une souffrance persistante. Malgré la douleur, l'accordéon continue de jouer, représentant la mélancolie d'un amour perdu.
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H
Merci pour cet excellent commentaire qui correspond bien à l’ambiance de mon poème